Two points to remember from Olivier Pétré-Grenouilleau's thin pamphlet Nantes & la traite négrière (2007):
1. La mise-hors (ou capital nécessaire à l'armement d'un négrier) était relativement élevée, de l'ordre du prix d'un petit hôtel particulier parisien à la fin du 18e siècle.
2. Au 18e siècle, la noblesse bretonne était à la fois nombreuse et souvent désargentée. On sait que le père de François-René de Chateaubriand fut un négrier.
And maybe another:
3. Il fallait souvent dix à seize mois afin de boucler la totalité du circuit.
Not the best way to spend a year of one's life.