Sunday, April 29, 2007

Faiseurs de notes, contrebandiers de la litterature. (Perros)

Here is a neat distinction made by Georges Perros between a maxim and an aphorism:

Une maxime se travaille, se pense, profite de l'homme, est civilisée. Un mot la fait surgir. Un contact. Elle est court-circuit, mais les plombs sont réparables. L'aphorisme se passe de l'homme. Se fait et défait tout seul. Méprise. Il est le signalement le plus fier de l'indifférence. Ne sollicite, ne flatte ni l'amour ni l'opinion. Rien de politique. (Papiers collés 1, 14)